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Journal d'un Exilé de la phallocratie - V2
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  • C'est presque comme ça, mais ce ne pas toujours que ça : "Du foutre, de belles bites, de beaux culs et un beau corps, pensez vous ! Des histoires, des rencontres, parfois juste un regard ou un sourire croisé. Ceci n'est pas mon histoire, juste parfois des
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2 octobre 2008

Parce que Roch Hachana était un instant rêvé.

DSC_2116On me dit totalement enamouré, midinette, voir naïvement passionné par cet interprète !!

Finalement, qu'importe ! Qu'importe puisque grâce à lui, grâce à sa façon de m'amener à écouter différents compositeurs classiques, je vais ensuite toujours plus loin dans ma quête de connaissance .

Alors, oui, j'aime Alexandre Tharaud et je suis fier et heureux de le dire.

Mieux encore, je  me plais  à l'écouter encore et encore... Et  depuis hier, oui, je suis juste heureux d'avoir plié le genou  devant lui pour obtenir pour Joël et moi même un CD dédicacé.

En d'autres lieux, voilà, comment j'ai résumé cette soirée d'hier...

Merci encore à ce grand pianiste.

"Ce nouvel an ne pouvait pas mieux se passer. Alexandre Tharaud était là. Merveilleux !
C'était juste magique ou féérique.
C'était il y a maintenant déjà quelques heures.

Une heure de concert, une toute petite heure qui m'a semblé ne durer qu'une minute ou un temps infini, je ne sais pas encore.
Pour sûr, je n'en ai pas eu assez.
Pour sûr, j'aurais souhaité que cela n'est pas de cesse.

Je ne sais pas, je n'arrive pas à rendre l'impression de cette communion avec l'artiste qui partage si souvent ma vie grâce à ses différents enregistrements, ce génie du touche à tout.

Le voir, voir ses mains caresser et dompter son piano...
Voir son visage quasi angélique prendre par instants la mimique du supplicié et dans l'instant suivant le visage  retrouvait  le calme de la béatitude...
Voir son corps se tordre parfois comme si la musique le traversait et lui ou elle, je ne sais plus, finissait(aient) par nous ensorceler, nous transporter loin, très loin.
Voir ses longues mains fines virevoltant sur le clavier, ses doigts magiques, l'espace d'un court instant m'ont ramené deux années en arrière dans un bar parisien une fin d'après midi froide de fin d'automne. Et j'ai souri.

Le choix et l'interprétation de différents "ordres" de Couperin et d'un "pot pourri" des meilleurs morceaux (à mes yeux ou plutôt à mes oreilles) de Chopin ont parfait le bonheur de cette rencontre presque improbable. Alexandre Tharaud était simplement habité par ces oeuvres et grâce à lui, l'auditoire était emmené dans cet espace temps impossible à retranscrire. Je pourrais dire qu'il nous donnait l'illusion de faire revenir parmi nous Couperin et Chopin.

Merci monsieur pour ce bref moment paradisiaque."

C'est sans doute naïvement "amoureux" mais, c'est bien ainsi e j'ai du vivre ce moment de simple bonheur et vrai bonheur musical.
xx
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